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La Commission des sanctions
Composée de magistrats et de professionnels, la Commission des sanctions de l’AMF dispose d’une totale autonomie de décision. Elle peut sanctionner toute personne ou société dont les pratiques sont contraires aux lois et règlements du champ de compétence de l’AMF. Elle intervient également pour homologuer les accords de transaction et participe à l’information des professionnels et des épargnants.
Ses missions
Sanctionner
Lorsqu’elle est saisie par le Collège de l’AMF, la Commission des sanctions instruit les dossiers et statue sur les faits reprochés aux personnes poursuivies au terme d'une procédure encadrée. Elle peut prononcer des sanctions pécuniaires et/ou disciplinaires (avertissement, blâme, ou interdiction à titre temporaire ou définitif de l'exercice de tout ou partie des services fournis).
Homologuer
Les accords de transaction (ou de composition administrative) conclus entre les personnes mises en cause et le secrétaire général de l’AMF, une fois validés par le Collège, doivent être homologués par la Commission des sanctions avant d’être rendus publics. Toutefois, la Commission des sanctions peut décider de ne pas homologuer une transaction, une procédure de sanction est alors ouverte.
Informer les professionnels & le public
La Commission des sanctions s’attache, par ailleurs, à informer les professionnels et le public à travers :
- la publication de ses décisions qui rappellent aux acteurs les règles de droit et expliquent la raison, le contenu et la finalité des sanctions prononcées. Ainsi informés, les professionnels peuvent mieux appréhender les règles qu’ils doivent respecter ;
- l’ouverture au public des séances de la Commission, depuis octobre 2010, qui permet au public de mieux comprendre les affaires examinées ;
- la publication de principes directeurs issus de la jurisprudence ; et
- le colloque annuel de la Commission qui réunit acteurs du secteur financier et universitaires autour de thèmes d’actualité, de procédure ou de jurisprudence.
Ses membres
12 membres distincts de ceux du Collège
La Commission des sanctions est indépendante du Collège et comprend 12 membres distincts de ceux du Collège :
- Quatre magistrats : deux conseillers d'État désignés par le vice-président du Conseil d'État et deux conseillers à la Cour de cassation désignés par le premier président de la Cour de cassation ;
- Six professionnels désignés par le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, en raison de leur compétence financière et juridique ainsi que de leur expérience, après consultation des organisations représentatives des sociétés industrielles et commerciales dont les titres sont offerts au public ou cotés sur un marché réglementé.
- Deux représentants des salariés des entreprises du secteur financier désignés par le ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, après consultation des organisations syndicales représentatives.
Un rapporteur désigné sur chaque dossier examiné
Le rapporteur est en charge de l’instruction d’un dossier de sanction. Personnage clé de la procédure de sanction, il est désigné parmi les membres de la Commission par le président qui s’assure qu’il ne risque pas de se trouver en conflit d’intérêts compte tenu des personnes et/ou des sociétés faisant l’objet de la procédure. Présent lors de la séance, il n’assiste pas au délibéré car il ne prend pas part à la décision.
Un mandat de 5 ans renouvelable une fois
La Commission des sanctions est renouvelée par moitié tous les 30 mois. La durée du mandat de ses membres est de 5 ans à partir de la date de la première réunion de la Commission. Ce mandat est renouvelable une fois.
Un président élu
Le président de la Commission des sanctions est élu, à la majorité, par les membres de la Commission, parmi les 4 magistrats désignés par le Conseil d’État et la Cour de cassation. Il doit donc être réélu après chaque renouvellement partiel, contrairement au président du Collège qui est désigné par décret, donc sans intervention des membres du Collège. Il est élu pour la durée de son mandat de membre de la Commission des sanctions.
Une organisation en 2 sections
Comme le permet le code monétaire et financier, la Commission des sanctions a constitué 2 sections pour exercer ses missions. Chacune est composée de 6 membres et est présidée par l'un des conseillers d'État ou des conseillers à la Cour de cassation membres de la Commission. Elle peut aussi se réunir en formation plénière.
Des membres soumis à des règles déontologiques
Les membres de la Commission des sanctions sont soumis à des règles déontologiques communes.
Parmi celles-ci :
- L’exercice des fonctions avec dignité, probité et intégrité en veillant à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts ;
- L’interdiction de siéger ou, le cas échéant de participer à une délibération, une vérification ou un contrôle si le membre a un intérêt ou s’il a eu un intérêt au cours des 3 années précédant la délibération, la vérification ou le contrôle ;
- Le respect du secret des délibérations et la soumission au secret professionnel ;
- La déclaration de la situation patrimoniale et des intérêts à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) ;
- La gestion des instruments financiers détenus par les membres dans des conditions excluant tout droit de regard pendant la durée du mandat ;
- L’incompatibilité de l’exercice du mandat de membres avec certains mandats électoraux et certaines fonctions professionnelles
- Le contrôle de la HATVP sur la compatibilité des nouvelles activités professionnelles exercées à l’issue du mandat avec les fonctions de membres de l’AMF pendant trois ans.
Trombinoscope
Valérie Michel-Amsellem
Magistrate, ancienne élève de l’Ecole nationale de la magistrature (1986), est, depuis 2019, conseillère à la chambre commerciale, économique et financière de la Cour de cassation.
Ancienne présidente de la chambre 5-7 de la cour d'appel de Paris, chargée des recours formés contre les décisions de plusieurs autorités indépendantes, entre septembre 2015 et septembre 2019, elle a précédemment exercé les fonctions de conseillère à la cour d'appel de Paris (2012 à 2015), conseillère référendaire à la Cour de cassation (2003 à 2012), rapporteure, puis rapporteure générale adjointe au Conseil de la concurrence, devenue l’Autorité de la concurrence (1993 à 2012).
Elle est membre du collège de supervision de l’ACPR, depuis 2020. Elle a, par ailleurs, présidé le Jury de déontologie publicitaire de l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (2012 à 2015).
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis septembre 2021.
Edwige Belliard
Diplômée en Lettres (Espagnol, Sorbonne, 1969), Sciences politiques (IEP Paris, 1971), Etudes supérieures de droit public (Assas, 1972) et de l'ENA (promotion Guernica, 1976). Elle rejoint le ministère des Affaires étrangères en 1976 au sein la Direction d'Europe, puis du Service des affaires stratégiques. Nommée à la Direction des Affaires juridiques en 1986, elle y occupe les fonctions de directrice adjointe de 1990 à 1995. Elle est ensuite nommée directrice des ressources humaines (1995-1998).
Nommée conseillère d'Etat en 1998, elle exerce des fonctions à la Section du contentieux et à la Section des finances (1998-2003 et 2014-2017) ainsi que celles de rapporteur général à la Section du rapport et des Etudes (2003-2005). Détachée au Ministère des Affaires étrangères de 2005 à 2014, elle y occupe le poste de jurisconsulte, directrice des affaires juridiques. A ce titre, elle a notamment été agent du Gouvernement français devant la Cour internationale de justice, les juridictions de l'Union européenne et la Cour européenne des droits de l'Homme.
Elle a participé à plusieurs jurys de concours (ENA, ministère des Affaires étrangères) et siégé dans diverses commissions : commission intergouvernementale pour le tunnel sous la Manche, Commission des sondages, Commission des infractions fiscales.
Edwige Belliard est actuellement membre du groupe national de la Cour Permanente d'Arbitrage (depuis 2013) et déontologue des membres des Collèges et de la Commission des sanctions de l'ACPR (depuis 2017).
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis septembre 2015.
Jean-Claude Hassan
Ancien élève de l’École Normale supérieure (rue d’Ulm), diplômé d’études approfondies de mathématiques, agrégé des sciences économiques et sociales, diplômé de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Jean-Claude Hassan est affecté au Conseil d’État en 1981 à sa sortie de l’ENA (promotion Droits de l'Homme). En 1984, il devient conseiller technique au cabinet du ministre des Affaires sociales et de la solidarité nationale. Il intègre la banque Stern en 1986, d’abord comme directeur général adjoint, puis comme directeur général jusqu’en 1992. Il est directeur général de la banque Worms de 1992 à 1994 avant de regagner la section sociale du Conseil d'Etat.
En 2000, il entre au cabinet du ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie en tant que conseiller spécial pour l'euro. Il est conseiller d’État depuis 2005 (membre de la section du contentieux et de la section des travaux publics). Jean-Claude Hassan a été membre de la Commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers de 2008 à 2013.
Jean-Claude Hassan a été membre du Collège de l’AMF de décembre 2013 à février 2024, désigné par le vice-président du Conseil d’Etat. Il est membre du Collège de l’Autorité des normes comptables depuis janvier 2014.
Il est membre de la Commission des sanctions depuis février 2024.
Xavier Samuel
Titulaire d'une licence d'histoire et d'une maîtrise de droit, Xavier Samuel a intégré l’école des commissaires de police (ENSP 1988-1989) avant de rejoindre l’Ecole nationale de la magistrature (1989-1991).
Nommé en 1991 substitut du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Rouen, il a rejoint en 1993 l'administration centrale du ministère de la justice, exerçant au sein de la direction des affaires criminelles et des grâces, d’abord au bureau des grâces puis successivement aux bureaux de l’action publique puis de la législation de la sous-direction des affaires économiques et financières.
Devenu conseiller référendaire à la Cour de cassation en 1999, il exerce ses fonctions à la chambre criminelle, section économique et financière (1999-2004).
En 2004, il est détaché, en qualité de chargé de mission, au service juridique du Conseil constitutionnel (2004-2007).
Nommé conseiller technique pour les libertés publiques et questions constitutionnelles au cabinet de madame Rachida Dati, Garde des Sceaux, ministre de la Justice (juin/ août 2007), il occupe ensuite les fonctions de substitut du procureur général près la cour d'appel de Paris (2007-2009 - affecté à la chambre de l’instruction en matière de terrorisme) puis de conseiller à la Cour d'appel de Rouen (2009-2018), successivement aux chambres correctionnelle, sociale et première civile.
Depuis septembre 2018, il est conseiller à la Cour de cassation, affecté à la section de l’environnement et santé publique de la chambre criminelle. Il a exercé parallèlement les fonctions de membre suppléant de la commission des requêtes de la Cour de justice de la République de 2019 à 2022 et de membre de la commission de recours des officiers de police judiciaire de 2019 à 2023.
Il est membre de la Commission des sanctions depuis février 2024.
Frédéric Bompaire
Diplômé de l’ESSEC (1975), LLM de l’université de Pennsylvanie à Philadelphie (1979) et docteur d’université en droit (1981) il débute à la direction financière du CCF par le montage d’opérations d’appel public à l’épargne, puis la gestion obligataire avant de partir à Londres promouvoir l’investissement en actions françaises.
Il quitte le CCF pour fonder et diriger la rédaction de l’hebdomadaire des financiers, Option finance, en 1987. Après deux années dans la presse il revient à la banque dans un GIE de participation aux émissions obligataires et les privatisations, l’UGP, puis préside le directoire de l’établissement de crédit du groupe OFI avant de rejoindre BFT Gestion dont il devient un des deux dirigeants. Enfin, il est en charge des affaires publiques d’Amundi après sa prise de contrôle de la BFT.
Par ailleurs, vice président de la BRED il a également été enseignant vacataire à l’ESSEC puis professeur associé au CNAM. Il est chevalier de la Légion d’honneur.
Il est membre de la Commission des sanctions depuis septembre 2021.
Alain David
Diplômé de l’Ecole Polytechnique (Promotion 1974) et de l’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique (ENSAE), Alain David a effectué toute sa carrière dans le secteur bancaire.
Il a travaillé de 1979 à 2006 au Crédit Mutuel et au CIC. Il y a exercé des fonctions de risque, de contrôle de gestion, de salle des marchés, de gestion d’actifs et de directeur régional dans le réseau avant de devenir en 1996 directeur financier et des risques du groupe CIC puis de diriger à partir de 2000 sa filiale de gestion d’épargne salariale.
Il a rejoint le groupe Banque Populaire en tant que directeur financier en 2006 jusqu’à la création de BPCE à laquelle il a participé en tant que directeur financier exécutif de 2009 à 2013. Il a en particulier piloté la résolution du « monoliner » américain CIFG, à l’époque filiale de Natixis. Il a été ensuite membre du directoire de la Caisse d’Epargne Ile de France de 2013 à 2020.
Il a été administrateur de diverses sociétés dont Nexity de 2011 à 2014.
Il est membre de la Commission des sanctions depuis septembre 2021.
Sophie Langlois
Après 6 ans d’audit financier chez EY, Sophie Langlois a participé á la création et au démarrage d’entreprises financières, entreprises d’investissement ou banques, en qualité de directeur général délégué ou secrétaire général (dont Crédit Suisse First Boston France, Société de Banque Suisse France, Aurel).
Elle a ensuite été directeur général d’Instinet France (de 2000 à 2006) et, au sein d’Instinet UK, responsable du post marché Europe, puis directeur général délégué auprès de Dexia Securities (de 2006 à 2012). En 2013, SL a créé GRC , société spécialisée dans le reporting réglementaire, en partenariat avec GMEX ltd.
Sophie Langlois exerce et a exercé des mandats d’administrateur indépendant, notamment auprès d’Enternext (filiale d’Euronext en charge de la promotion et de la commercialisation des marchés des valeurs de petite et moyenne capitalisation), d’ID2S ( dépositaire central, développé sur une technologie Blockchain), de AALPS Capital ( financement des solutions de mobilité hydrogène).
Sophie Langlois est expert comptable, ancienne élève de Sciences Politiques Paris, lauréate de l’université de Bordeaux en Sciences Economiques et titulaire d’un DEA de Droit de Panthéon Sorbonne.
Elle est Chevalier de l’Ordre National du Mérite, membre de la Fondation Un Avenir Ensemble et contrôleur bénévole de l’association Don en Confiance.
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis février 2024.
Anne Le Lorier
Anne Le Lorier a effectué la majeure partie de sa carrière à la Direction du Trésor et participé à des cabinets ministériels. Elle a ensuite exercé des responsabilités chez EDF (Corporate Finance et Trésorerie ; Audit et Risques) puis a été sous-gouverneur de la Banque de France.
Elle est actuellement membre du collège de l’ACPR et préside le comité d’orientation du Fonds de Cohésion sociale.
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis janvier 2019.
Sophie Schiller
Agrégée des facultés de droit, Sophie Schiller est professeur de droit privé à l'université Paris-Dauphine-PSL.
Spécialisée en droit des sociétés cotées et non cotées, c'est dans cette matière qu'elle effectue l'essentiel de son activité de recherche. Elle dirige l’École Droit Dauphine, est responsable des M2 Droit des affaires et du Droit du patrimoine professionnel ainsi que de l'exécutive master Compliance. Elle assume plusieurs responsabilités scientifiques et éditoriales : directrice scientifique de la Revue Actes Pratiques et ingénierie sociétaire et de la Revue Française de Gouvernance d’Entreprise, membre du comité juridique de l'ANSA (Association Française des Sociétés par Actions), de la commission juridique de l’Institut Français des Administrateurs etc.
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis septembre 2016.
Ute Meyenberg
Elle a travaillé pendant 25 ans dans une banque d’investissement en tant que chargé de clientèle, analyste de crédit, financements de projets, syndication de crédits et finalement en conformité et aux normes comptables en France et en Allemagne. Depuis 2007, elle s’occupe de lobbying sur la règlementation bancaire pour les syndicats français (CFDT) et européens (UNI Europa Finance).
Elle a notamment été membre de la première Banking Stakeholder Group de l’Autorité Bancaire Européenne (EBA) entre 2011 et 2016, et depuis 2022 elle représente les syndicats à l’EIOPA (Autorité européenne des fonds de pension et des assurances).
Elle a également fait partie du comité de reporting sur la durabilité de l’Autorité des normes comptables où elle a activement contribué à la mise en place des normes ESRS. Ute est psychologue du travail et diplômée d’HEC.
Elle est membre de la Commission des sanctions depuis janvier 2019.
Aurélien Soustre
Maître de conférences associé à l’Université Jean Moulin Lyon-III, où il enseigne les sciences de gestion et du management, et assure la responsabilité pédagogique des licences professionnelles de l’iaelyon, dont il est membre du Conseil.
Il entre à BNP Paribas en 2008 comme cadre commercial au sein des Réseaux France de la Banque, après un Master 2 en gestion de patrimoine au Centre lyonnais universitaire de banque et bourse (CLUBB). Il enseigne à l’iaelyon depuis 2009, et intègre le vivier d’experts du Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur en 2023.
Depuis juin 2014, il est membre titulaire du Comité consultatif du secteur financier (CCSF), instance de concertation de la Finance, placée sous la tutelle des ministères économiques et financiers. En octobre de la même année, il est appelé à siéger au sein de la Commission consultative des pratiques commerciales de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR – Banque de France).
Il rejoint la gouvernance du Groupe de protection sociale Malakoff Médéric comme Administrateur, mandataire social, dès septembre 2016. Depuis le rapprochement avec Humanis, il assure la présidence du Conseil d’administration de l’AM Assurance de Personnes (AMAP), structure employeur qui réunit les moyens nécessaires au fonctionnement des activités concurrentielles du nouveau Groupe. Il préside également la commission financière assurantielle du Groupe Malakoff-Humanis.
Il est désigné administrateur du Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) par l’Etat. Il siège également au Bureau central de tarification (BCT), section auto, et au sein de l’Observatoire de l’épargne financière institué par la loi.
Il est membre de la Commission des sanctions depuis février 2024.
Claude Baj
désigné par le ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique
En savoir plus
- Règlement intérieur de la Commission des sanctions
- Avis relatif à la composition de la commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers (publié au JO du 27 février 2024)
- Décision n° 977 du 13 décembre 2024 relative à la composition des sections de la commission des sanctions
- Les décisions de la Commission des sanctions
- Le recueil de jurisprudence
- Les précédentes éditions du colloque de la Commission des sanctions en vidéo
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Responsable de la publication : Le Directeur de la Direction de la communication de l'AMF. Contact : Direction de la communication, Autorité des marchés financiers - 17, place de la Bourse - 75082 Paris Cedex 02