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Par ordonnance du 8 février 2011, le Magistrat délégué par le Premier Président de la Cour d'appel de Paris a déclaré irrecevable le recours de la société W et M. G contre les conditions d'exécution d'une ordonnance du Juge des libertés et de la détention du Tribunal de grande instance de Paris du 8 septembre 2005 autorisant une visite domiciliaire dans les locaux et dépendances de la société W.

Cour d'appel SAN-2008-12 - Décision de la Commission des sanctions du 28 février 2008 à l'égard des sociétés X, Y, Z, W et de MM. A, B, C, D E, F, G, H 0 R1CA-SI-APPROBATEUR Recours formé par la société W et M. G devant la Cour d'appel de Paris contre les conditions d'exécution de l'ordonnance rendue le 8 septembre 2005 par le Juge des libertés et de la détention du Tribunal de Grande Instance de Paris